jeudi 30 avril 2015

La Légion étrangère commémore Camerone

Placée sous l’autorité militaire du général de division Jean Maurin, commandant la Légion étrangère, la prise d’armes sera présidée par le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées. Pour le défilé final, la Patrouille de France survolera la cérémonie.
Les portes du quartier Vienot seront ensuite ouvertes à tous. Des aubades de la Musique de la Légion étrangère, des stands, animations et attractions foraines vous seront proposés l’après-midi et la soirée du 30 avril, ainsi que le 1er mai de 10h30 à 22h. L’élection de Miss Képi Blanc aura lieu quant à elle le 30 avril à 21h.

Considéré comme le fait d’armes le plus célèbre de la Légion étrangère, le combat de Camerone symbolise la force d’intégration de la Légion étrangère et consacre ses valeurs : caractère sacré de la mission, la fidélité à la parole donnée et le destin choisi et accepté par tous.
Ces mêmes festivités auront lieu dans
tous les régiments de la Légion étrangère et partout où un légionnaire se trouve sur la planète, en régiment ou en opération, ce combat sera commémoré.
Pour plus d’information sur les festivités : http://camerone.legion-etrangere.com
http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/la-legion-etrangere-commemore-camerone

Un braqueur désarmé par un soldat.

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Jeudi 10 avril, 21 heures. Montlhéry. Le commandant Yoanne Martinaud prend tranquillement son dîner dans un fast food. Tout à... coup, des cris. Un homme braque une caissière avec une arme. Il hurle. Les clients, parents et enfants, s’affolent et se bousculent vers la sortie. En quelques secondes, le commandant évalue la situation, prêt à réagir. Il fait semblant de sortir et se rapproche du braqueur tandis que celui-ci se saisit de l’argent dans la caisse. Il parvient à maîtriser l’individu et à le maintenir au sol. L’homme se débat. Le commandant rassure les personnes encore présentes et demande d’appeler les forces de l’ordre. Parmi les clients, un gendarme en civil lui prête main-forte pour maintenir le malfaiteur au sol jusqu’à l’arrivée de la police.
Ses 20 ans d’entraînement intensif et d’opérations extérieures ont permis au commandant de réagir avec détermination et efficacité. Une belle preuve de courage et de sang-froid !‪#‎courage‬ ‪#‎honneur‬ ‪#‎fierté‬ ‪#‎félicitations

Teaser] Le ministère de la Défense au salon du Bourget 2015

Des nouvelles motos pour l’armée de Terre

Evreux, une base au service du transport aérien

mercredi 29 avril 2015

PHOTOS-VIDEO. Les militaires du 3e RG surveillent les lieux sensibles du 93


Opération Sentinelle dans le 93 avec les... par UnionArdennais
Les soldats de la 1 re  compagnie de combat du génie de Charleville-Mézières participent à l’opération Sentinelle. Ils opèrent, depuis avril, en Seine-Saint-Denis.
Quatre militaires sont en faction devant un groupe scolaire juif, où sont inscrits 720 élèves de la maternelle à la terminale. «  Ils sont huit au moment de leurs entrées et sorties », explique le capitaine P.
La chef d’établissement, Dominique Dahan, trouve cette présence rassurante : «  Nos élèves sont en danger, nous nous sentons exposés. La présence des militaires est dissuasive. Nous aimerions que le dispositif dure un petit moment, le temps que ça se calme.  »
Pour le capitaine P. et le 3e RG, c’est une mission «  valorisante. Nous nous sentons utiles  ». Mise en place au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, l’opération Sentinelle vient renforcer le plan Vigipirate. 1 000 soldats de l’armée de terre occupent aujourd’hui le Fort de l’Est, à Saint-Denis. Parmi eux, se trouve la soixantaine de soldats de Charleville-Mézières.
Leur mission, d’un mois, a pris effet le 13 avril. Elle sera reconduite en mai-juin.
http://www.lunion.com/453754/article/2015-04-29/photos-video-les-militaires-du-3e-rg-surveillent-les-lieux-sensibles-du-93

BONNE FETE DE CAMERONE 2015 A TOUTE LA FAMILLE LEGION ETRANGERE

Projet "mobilité" - Plan stratégique Unis pour "Faire Face

Projet "diplomation" - Plan stratégique Unis pour "Faire Face"64 1920X1080 3000Kbts

[Documentaire] Serval, une brigade au combat

Défense: 18.500 postes préservés

François Hollande a annulé plus de la moitié des 34.000 suppressions de postes prévues dans la Défense dans le cadre de la révision de la Loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019, a annoncé l'Elysée ce jour.

Lors du 
conseil de Défense de ce matin, à l'Elysée, "le président de la République a annoncé qu'il allait préserver 18.500 postes sur les 34.000 suppressions de personnels prévues dans la LPM", a indiqué son entourage.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/29/97001-20150429FILWWW00106-defense-la-suppression-de-18500-postes-annulee.php

Contrôle opérationnel de la 4e Cie du 25e RGA

mardi 28 avril 2015

Budget de l'armée : la location de matériels militaires, un simple "bricolage juridico-financier" ?

MORT AU FEU : Décès du sapeur de première classe Florian Dumont

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Décès du sapeur de première classe Florian Dumont
Les sapeurs-pompiers de Paris ont la tristesse de faire part du décès du sapeur de première clas...se Florian Dumont, survenu ce lundi 27 avril 2015.
Le 13 mars 2015, le centre de secours de Bondy est engagé dans l’incendie d’un pavillon à Livry-Gargan. Au cours de l’attaque, Florian Dumont a été grièvement blessé. En dépit des soins prodigués, il a succombé à ses blessures dans la nuit du lundi 27 avril 2015. C'est au cours de cette même intervention que sa coéquipière Aurélie Salel nous a quittés.
Florian Dumont, âgé de 25 ans, avait incorporé la brigade de sapeurs-pompiers de Paris, le 4 août 2009. Après sa formation, il avait rejoint le centre de secours de Bondy, en qualité de sapeur servant, en décembre 2009. En janvier 2015, il avait suivi avec succès le peloton des élèves caporaux.
Titulaire de la médaille de la Défense nationale échelon bronze, le sapeur de première classe Florian Dumont avait été également récompensé de deux lettres de félicitations régimentaires. Passionné par son métier, rigoureux, il était particulièrement apprécié de ses camarades pour son altruisme et son professionnalisme.
La BSPP toute entière, exprime son soutien, sa solidarité et sa compassion à toute sa famille et à ses proches et remercie tous ceux qui lui ont manifesté des témoignages d’amitié et de sympathie.

A Arras, les gendarmes apprennent la langue des signes

Un satellite assemblé à Cannes envoyé dans l'espace avec succès

Un satellite assemblé à Cannes a été mis en orbite ce dimanche. Le satellite franco-italien Sicral 2 assurera des télécommunications militaires depuis l'espace, pendant quinze ans.
De Cannes à l'espace en passant par la Guyane. Ce dimanche, un satellite assemblé sur le site de Thalès Alenia Space à Cannes a été mis en orbite depuis Kourou.
Sicral 2, c'est le nom de ce satellite franco-italien, doit permettre d'assurer des télécommunications militaires à longue distance, depuis l'espace. Il a une durée de vue prévue de quinze ans.
La France a investi 120 millions d'euros dans le projet.
http://www.nicematin.com/cannes/un-satellite-assemble-a-cannes-envoye-dans-lespace-avec-succes.2192661.html

Des artilleurs du 54e RA décorés

Avec les soldats du Grand Sud dans l'enfer du désert malien » [Webdocumentaire]

http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/27/2094876-soldats-grand-sud-enfer-desert-malien-webdocumentaire.html

La rédaction de La Dépêche du Midi vous propose d’embarquer avec les troupes françaises au Mali grâce au webdocumentaire «Avec les soldats de la force Barkhane.» Dans La Dépêche du Midi du 27 avril, vous avez pu découvrir un aperçu du quotidien des soldats du Grand Sud.
Avec ce webdocumentaire, vous entrez dans le camp de Tessalit, où les Français sont stationnés. Ce récit multimédia en longueur vous permettra de découvrir des photos et des vidéos exclusives de la mission.
Notre envoyé spécial Pierre Challier a pu patrouiller avec les militaires français. Il a passé des heures entières dans un blindé, où la température est extrême, a dormi et mangé comme les soldats. Cette expédition dans l’enfer du désert malien est à vivre sur le lien en haut de cet article...

 Les cadres, les anciens, ils ont fait l'Afghanistan et Serval 1, ici, au Mali. Nous, la 4e compagnie, on est une compagnie de combat... », confie-t-il. Mais en l'occurrence, aucun pickup « GAT » avec sa mitrailleuse en vue, aucun « groupe armé terroriste » à l'horizon. Et à l'inverse de mars où ils ont fait carton plein, les fouilles ne donnent rien, pour le moment. Car ici, dans la région de Tessalit, « notre travail a porté ses fruits. On est en phase de stabilisation et nos missions démontrent qu'il n'y a plus de menaces majeures dans le secteur », résume son capitaine. Conduisant cette opération, lui préfère pour sa part retenir le positif. Certes, les nouveaux « veulent tous se confronter au danger, savoir ce qu'ils valent face à l'ennemi : ils se sont entraînés pour ça, c'est leur métier. Mais ceux qui ont vécu le feu leur rappellent qu'ils en ont eux aussi rêvé avant de découvrir que c'est « le dernier endroit où l'on voudrait être quand on y est exposé ». Et nous, notre objectif, c'est de ramener tout le monde, entier et en bonne santé, à la maison », tempère également l'un de ses lieutenants.
Ce convoi progressant lentement dans son nuage pulvérulent ? Après un réveil à 4h30, il est parti à 6 heures de Tessalit, la plateforme désert avancée la plus au nord du Mali, base française positionnée sur ce carrefour stratégique où la Transaharienne croise une piste filant vers le nord-ouest et la Mauritanie. Laissant au sud-est le massif de l'Adrar des Ifoghas, ratissé tout le mois précédent dans le secteur du Tigharghar, il a mis cap au nord avec pour butée la proche frontière algérienne et effectue une boucle de 300 km à travers d'interminables plaines minérales, des collines de rocailles et des ouadis sableux semés d'arbustes et de touffes d'herbes sèches, ponctués de rares puits et campements touarègues que signalent quelques chèvres et dromadaires nonchalants. Objectif : contrôler 15 points de caches d'armes potentiels dont les coordonnées ont été transmises par le renseignement...........
A SUIVRE SUR CE LIEN ...............
http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/27/2094876-soldats-grand-sud-enfer-desert-malien-webdocumentaire.html

L'armée française mobilisée : comment financer son budget


L'armée française mobilisée : comment financer... par FranceInfo

lundi 27 avril 2015

Economies: la Défense à l'épreuve du Budget

L'Etat français maintient depuis janvier son plan Vigipirate au niveau "alerte attentat", déployant quotidiennement plus de 7000 soldats, sans limite de durée, qui s'ajoutent aux 10 000 engagés dans des opérations extérieures. Des militaires principalement chargés de la surveillance des lieux publics très fréquentés (gares, aéroports, monuments, grands magasins...) qui viennent en renfort des forces de l'ordre (police et gendarmerie) déployées sur les lieux sensibles (écoles, médias, lieux de culte). 

Revoir la loi de programmation militaire?

Face à cette situation exceptionnelle, l'exécutif est sommé de revoir sa copie budgétaire. Initialement, la loi de programmation militaire 2014-2019 (LPM) prévoyait des réductions d'effectif (34 000 postes en tout dont 18 300 sur les trois derniers exercices) qui ne collent plus avec la menace terroriste actuelle. 
Ce mercredi, François Hollande préside un Conseil de défense décisif. Il va devoir trancher entre la nécessité de garder des effectifs opérationnels... tout en donnant des gages à Bercy. Officiellement, Manuel Valls cherche 2,8 milliards d'euros d'économies dans les dépenses de l'Etat en 2016, qui viennent s'ajouter aux 50 milliards d'euros votés jusqu'en 2017

Une rallonge supplémentaire?

Le budget de la Défense défini par la LPM s'élève à 31,4 milliards d'euros pour 2015. Mais dans ce budget initial, 2,2 milliards devaient provenir de ressources exceptionnelles: la vente aux enchères de fréquences hertziennes de très haut débit (TNT). Pour accélérer ce processus, les grands patrons de télécoms ont justement été convoqués à Bercy la semaine dernière par Emmanuel Macron. Mais les enchères ne sont prévues qu'en fin d'année. 
Dès lors, une solution a été mise sur la table: la création de sociétés de projet (SPV, "special purpose vehicle"), des coquilles juridiques qui doivent permettre aux armées, grâce aux finances de l'Etat, de louer du matériel militaire acheté avec des deniers publics. Concrétement, l'Etat vendrait des actions par l'intermédiaire de l'Agence des participations de l'Etat (APE), puis achèterait du matériel (on parle de trois frégates et quatre avions de transport de type A400M) et "louerait" finalement l'ensemble au ministère de la Défense. Curieux montage. 
Cette solution, proposée par les équipes de Jean-Yves Le Drian, n'a pas reçu un écho très favorable de Bercy. Mi-avril, au Sénat, Christian Eckert signalait ainsi que "s'il s'agit de gagner quelques mois pour 2 milliards d'euros, autant mettre des crédits budgétaires". "Les sociétés de projet, ça coûte cher et ça ne sert à rien", explique-t-on à Bercy, où l'on signale aussi qu'"emprunter deux milliards d'euros à six mois, avec les taux négatifs (comme en ce moment), ça nous rapporte même de l'argent." 

Des militaires contre des enseignants?

Si Bercy et la Défense s'opposent sur la méthode, le chef de l'Etat va aussi devoir s'interroger sur un fond plus politique. Signe de son engagement en faveur de la jeunesse, François Hollande s'était engagé à recruter 60 000 enseignants sur le quinquennat... tout en stabilisant les effectifs publics. Or cette promesse tenait en grande partie par des suppressions de postes dans l'armée (34 000 entre 2014 et 2019). 
Seulement, pour maintenir les forces de l'opération "Sentinelle" à niveau constant, le roulement des effectifs impose de compter trois soldats dans ses rangs pour un seul sur le terrain. Et la Défense a fait ses comptes: il faudrait sauver 18 500 postes pour remplir cette mission. D'où le nouveau casse-tête politique que va devoir trancher mercredi François Hollande: respecter un engagement présidentiel ou céder aux besoins de son Armée. 
 

Armée de Terre : Tir de l'obus BONUX


Armée de Terre : Tir de l'obus BONUX par jamaicanbuckle

Opération SERVAL

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Documentaire le mardi 28 Avril à 20h30 sur LCP

Mort d'une ambulancière de la guerre de 39-45

Christiane Petit, l'une des dernières "Rochambelles", les conductrices ambulancières pendant la Deuxième Guerre mondiale, est décédée samedi à l'âge de 95 ans, a annoncé aujourd'hui sa famille dans le carnet du Figaro.

Née en 1919, Christiane Petit était chevalier de la Légion d'honneur et avait reçu la croix de guerre 1939-1945. Cette ancienne conductrice infirmière intégrée au 13e bataillon médical de la 2e division blindée, l'unité militaire française commandée par le général Leclerc qui avait participé à la campagne de Normandie, à la libération de Paris le 25 août 1944 et à la campagne d'Allemagne.

Le groupe Rochambeau avait été créé aux Etats-Unis pendant la guerre par l'Américaine Florence Conrad qui avait levé des fonds pour l'achat de dix-neuf ambulances Dodge et qui fut la première commandante de l'unité.

La cérémonie religieuse aura lieu mardi 28 avril en la chapelle de l'Ecole militaire à Paris, et l'inhumation mercredi au cimetière de Paray-le-Monial.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/27/97001-20150427FILWWW00076-mort-d-une-ambulanciere-de-la-guerre-de-39-45.php

Une marche pour commémorer l’Engagement

Formation de pilote VAB au 13e BCA

Au programme de la formation : cours de mécanique, analyse du fonctionnement, entretien du véhicule, formation nucléaire radiologique biologique et chimique (NRBC), optique et optronique et enfin chaînage.
Lors du stage, les chasseurs alpins ont conduit sur une distance de 300 km dont une centaine de nuit et en tout terrain. Connaître le véhicule et son équipement et s’entraîner à la conduite sont indispensables pour acquérir l’expérience individuelle et collective requise pour maîtriser le VAB, en connaitre ses limites et en tirer la pleine efficacité opérationnelle en opérations. Sa capacité de franchissement élevée et sa résistance permettent au bataillon de mener un combat dynamique partout où il est envoyé.
Régiment d’infanterie motorisée de la 27e brigade d’infanterie de montagne (27e BIM), le 13e bataillon de chasseurs alpins (13e BCA) peut accomplir les missions suivantes : intervention dans le cadre d’un conflit régional ou majeur, actions humanitaires ou d’interpositions dans le monde, aide et secours à la population, défense militaire terrestre

dimanche 26 avril 2015

Maison d'éducation de la Légion d'honneur : entre tradition et modernité

Robe chasuble marine, chemisier blanc et ceinture de couleur portée en bandoulière. Telle est la célèbre tenue des élèves de la Maison d’éducation de la Légion d’honneur. Depuis plus de 200 ans, cette institution publique et laïque accueille les filles, petites-filles et arrière-petites-filles de détenteurs de la Légion d’honneur, de l’Ordre du Mérite ou de la Médaille militaire, à un tarif très attractif (environ 2 200 € par an). La Maison d’éducation de la Légion d’Honneur a pour vocation de former les jeunes filles et de les préparer à leur vie future.
Cette institution prestigieuse se repartit sur deux sites. Les Loges, à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), accueillent actuellement 480 pensionnaires, de la 6ème à la 3ème. Quant à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), il reçoit 490 élèves, de la seconde aux classes post-bac (hypokhâgne, khâgne, BTS de commerce international). Au total, l'institution accueille près d'un millier d’élèves, toutes internes. La Maison d’éducation de la Légion d’honneur dépend du ministère de la Justice. Elle est placée « sous l’autorité directe et exclusive » du Grand Chancelier de la Légion d’honneur, le général d’armée Jean-Louis Georgelin.
Au sein de ces deux établissements, la tradition occupe une place importante. Le règlement intérieur n'a guère changé depuis sa création par Napoléon, et la devise est toujours « Honneur et patrie ». L’uniforme est obligatoire pour toutes les élèves et l’année est rythmée par des moments- clés comme la remise des rapports ou la cérémonie des prix. « On peut penser que c’est un établissement hors du temps, mais nos élèves y sont très attachées », explique Marie-France Lorente, surintendante (proviseur) de la Maison d’éducation de Saint-Denis. « L’uniforme permet degommer les différences sociales. Quant aux prix et rapports, ce sont des moments forts qui rythment l’année scolaire. Il symbolise le travail rendu et les efforts fournis par les élèves. Ces systèmes de récompenses sont de vraies cérémonies auxquelles des personnalités extérieures sont souvent invitées pour prononcer un discours. Ces rituels très codés correspondent aux valeurs des ordres nationaux, qui sont le mérite, le goût de l’effort, la solidarité et l'émulation. »
L’école possède une équipe d’enseignants de grande qualité détachés de l’Éducation nationale et recrutés par l'établissement. En 2014, 100 % des candidates ont été admises au bac, et 98,5 % ont reçu une mention. « Ces chiffre sont le fruit du travail des enseignants et des élèves », poursuit Marie-France Lorente. « L’internat favorise l’étude et la réussite. Elles viennent ici pour réussir. Il y a beaucoup d’émulation et de solidarité entre elles. »
Les jeunes filles ne reçoivent pas uniquement des cours de matière scientifiques ou littéraires. Les maisons d’éducation possèdent une longue tradition d’enseignement de la musique et des arts plastiques, pratiqués dans le souci de forger le goût esthétique des élèves. « Une part importante des activités extrascolaires est consacrée à la musique, à la danse, au théâtre et aux arts plastiques », enchaîne la surintendante. « Ce sont des activités à la fois très traditionnelles et très modernes. Cela nous donne l’occasion d’observer les élèves dans leur globalité. Par ailleurs, cela contribue aussi à l’épanouissement de leur sensibilité esthétique. » Les écoles organisent de nombreuses sorties (expositions, théâtre, concerts, cinéma), avec comme objectif d’ouvrir l'esprit des élèves sur le monde extérieur et de développer leur culture générale.
Elles sont également souvent appelées à participer à des cérémonies officielles de la République, comme le ravivage de la flamme du Soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe, ou certaines prises d’armes aux Invalides, lorsque le président de la République s’y trouve, ou encore des cérémonies autour du devoir de mémoire. « Ces moment sont l’occasion de leur faire prendre conscience des valeurs dont elles sont les héritières, et de leur mission de les transmettre à leur tour », termine Marie-France Lorente. Une maison qui s’appuie sur ses traditions pour mieux éduquer ses élèves, afin de les préparer au monde du XXIe siècle.

Belfort : deux futurs mécaniciens montbéliardais en stage au 35e RI

DANS LEUR COMBINAISON KAKI, Yoan et Baptiste travaillent sur le moteur d’un VBCI (véhicule blindé de combat de l’infanterie) au milieu des ateliers mécaniques du 35e RI de Belfort. Pourtant, les deux jeunes hommes ne sont pas militaires. Agés respectivement de 18 et 16 ans, ils sont élèves en Première professionnelle au lycée Viette, à Montbéliard, spécialité maintenance de véhicules industriels.
Dans le cadre d’un partenariat, noué il y a deux ans, entre leur établissement scolaire et le Cirfa (Centre d’information et de recrutement des forces armées), ils effectuent actuellement leur stage en entreprise au sein du régiment belfortain.
D’ailleurs, s’ils ont choisi cette filière, c’est pour bénéficier de cette opportunité de découverte de la vie militaire. « C’est un rêve », reconnaît Yoan, déjà réserviste à Bourogne.
Sur leurs deux dernières années au lycée, ils passeront donc 16 semaines en immersion totale au 35e RI. Contrairement à leurs camarades qui retournent chez eux tous les soirs, Yoan et Baptiste sont en effet logés à la caserne Maud’huy. « C’est vraiment un plus, une expérience géniale. On discute, on joue au billard avec eux », expliquent les deux compères qui participent aussi aux rassemblements et aux activités sportives comme n’importe quel autre militaire.

« Poids-lourd ou blindé, un moteur reste un moteur »

Dans les ateliers, au milieu des blindés et autres camions militaires, les deux jeunes hommes n’ont pas mis longtemps à trouver leurs marques. « Les VBCI ont un moteur Renault, comme les poids-lourds sur lesquels nous travaillons à l’école. Il y a juste des spécificités en plus, comme un double alternateur ou un système anti-incendie. Mais sur le fonctionnement même, que ce soit un poids-lourd ou un blindé, un moteur reste un moteur », précise Baptiste. « Et pour la révision du véhicule (amortisseurs, plaquettes de frein, pneus), les gestes sont les mêmes qu’on travaille sur une voiture ou sur un blindé. Les pièces sont juste plus grosses sur un blindé », ajoute Yoan.
De son côté, le chef des ateliers ne tarit pas d’éloges sur ces deux stagiaires. « Honnêtement pour quelqu’un qui n’est pas en lien régulier avec l’atelier, il est impossible de savoir qu’ils ne font pas partie du régiment. Dès leur arrivée, ils ont été tout de suite opérationnels. »
Pour Yoan et Baptiste, ce partenariat ouvre également des perspectives. Une fois leur bac en poche, ils pourront intégrer le 35e RI en tant que mécanicien. « Trouver des jeunes qualifiés et originaires du coin est une vraie aubaine pour nous. Et qui sait, dans vingt ans, ils seront peut-être à ma place », glisse le chef des ateliers.
Cette semaine, des recrues ont rejoint les ateliers du 35e. « Allez viens, on va voir comment s’en sortent les petits nouveaux », lance Yoan avec malice.
Dans sa tête, il fait déjà partie de la « maison ».

http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/04/26/belfort-deux-futurs-mecaniciens-montbeliardais-en-stage-au-35e-ri-mooh

BRIGADEX : les commandants des BFT en exercice

jeudi 23 avril 2015

A l'honneur

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Un trinôme du 501e régiment de chars de combat met hors d’état de nuire un voleur en plein Paris dans le cadre de l’opération Sentinelle.
Le 19 avril, alors qu'ils maintenaient leur condition physique en courant lors d'un quartier libre, le maréchal des logis Thomas avec son groupe est témoin d'une altercation. Le vigile d’une supérette est malmené par un individu. Le groupe lui porte immédiatement main forte. L’individu, rapidement maîtrisé par le trinôme a été maintenu à terre jusqu’à l’arrivée des forces de police alertées par les chasseurs. L’individu venait de voler dans la supérette et tentait de s’enfuir quand le groupe est intervenu, permettant son arrestation

Incendie dans un immeuble en construction

Aérolargage au niveau de la passe de Salvador

Legion Etrangère Recrutement 2015

mercredi 22 avril 2015

Armée: un nouveau système de paiement de solde

L'armée a choisi son nouveau système de paiement de soldes, qui sera mis en place graduellement à partir de 2017 pour remplacer le système Louvois, fiasco informatique et financier, a annoncé aujourd'hui le ministère de la Défense.

Le nouveau logiciel de paie des militaires, Source Solde, sera d'abord mis en service par la Marine nationale en 2017 puis, s'il s'avère "parfaitement" fonctionnel, s'étendra à "l'ensemble des armées et services" et "gèrera la solde de 250000 militaires

"Le marché notifié, d'un montant global de 128 millions d'euros, couvre la réalisation, la mise en service ainsi que la maintenance corrective et évolutive du nouveau système pendant dix ans", précise le ministère.

Source Solde remplacera Louvois (Logiciel unique à vocation interarmées de la solde), installé en 2011 dans l'armée de terre et la marine et dont les dysfonctionnements ont causé de nombreux retards de paiements et trop-perçus.

A cause de ces retards, des familles de soldats se sont retrouvées en difficulté financière quand eux-mêmes étaient engagés sur des théâtres d'opérations en Afghanistan ou au Mali.

Le système de paie dans l'armée compte pas moins de 174 primes et indemnités selon les spécialités et missions des soldats en France ou à l'étranger


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/22/97001-20150422FILWWW00387-armee-un-nouveau-systeme-de-paiement-de-solde.php

Violent feu d’entrepôt à La Courneuve

Le XV du Pacifique, une équipe de rugby militaire aux couleurs de l’Océanie

Infernal Run au 2e REI

mardi 21 avril 2015

Bob Maloubier, saboteur au service de Churchill et aventurier

hebergement d'image Saboteur au service de Churchill pendant la guerre, parachuté en France à deux reprises, notamment dans le Limousin au lendemain du débarquement du 6 juin 1944, père des nageurs de combat français : Robert, dit "Bob", Maloubier, mort lundi à 92 ans, a traversé le XXe siècle comme un aventurier.
Bob Maloubier a été décoré en juin 2014 par la reine d'Angleterre à Paris. Il a été distingué dans l'ordre de l'Empire britannique par Elizabeth II, à l'occasion de la visite d'Etat de la souveraine en France pour le 70e anniversaire du Débarquement.
Il disait alors se souvenir d'elle, habillée en scout sur les ruines à Londres, en 1943: "J'étais dans le quartier de Kensington. Il y avait eu des bombardements, et avec la famille royale et Winston Churchill, elle disait quelques mots de réconfort aux familles".

Moustache blanche façon major des Indes, oeil pétillant, Bob Maloubier était l'un des derniers survivants de la section française du Special Operations Executive (SOE), créé par Winston Churchill en juillet 1940 pour saboter et désorganiser les armées allemandes dans l'Europe occupée.

Fils de bonne famille, né à Neuilly-sur-Seine le 2 février 1923, Bob Maloubier s'engage dans le SOE à 19 ans, recruté à Alger par les Britanniques alors qu'il cherche à gagner Londres.
Parachuté en France à deux reprises, notamment dans le Limousin au lendemain du débarquement du 6 juin 1944, Bob Maloubier multiplie les sabotages mais est blessé deux fois.

Il quitte l'armée britannique avec le grade de capitaine et la prestigieuse décoration DSO (Distinguished Service Order), "reçue des mains de George VI", précise-t-il.
Une décoration accordée seulement à une soixantaine de Français pendant la guerre. Bob Maloubier était l'un des derniers à pouvoir porter sur sa carte de visite les initiales DSO après son nom.

Vieil espion dans un film de Godard

"La guerre pour moi, c'était les plus belles années de ma vie, simplement parce que j'en suis sorti vivant", assurait-il.
Après la guerre, il entre à 22 ans dans les services français pour dix ans. Au Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE, devenu Direction générale des services extérieurs, DGSE), Bob Maloubier participe à la création du service action, et fonde en 1952 avec Claude Riffaud l'unité des nageurs de combat.

Les deux hommes dessinent même leur montre de plongée. Blancpain, une maison suisse d'horlogerie réputée, sort en 1953 le premier modèle de la "Fifty Fathoms" (50 brasses, soit 91 mètres, la profondeur à laquelle elle doit encore fonctionner).
Cette montre, devenue mythique, sera adoptée par les Navy Seals, les plongeurs de combat américains.

Forestier au Gabon, il rencontre le médecin Albert Schweitzer (prix Nobel de la paix en 1952), devient pétrolier chez Shell, met sur pied la garde personnelle du président gabonais Léon Mba en 1965, sous l'égide de Jacques Foccart, le responsable des affaires africaines de la France sous plusieurs présidents. En 1967, il est en poste pour Shell à Lagos lorsqu'éclate la guerre du Biafra.

Depuis sa retraite - un mot qu'il abhorrait - à 63 ans, il s'était lancé dans une carrière d'écrivain, racontant sa vie de saboteur et d'agent secret.
Dans "Les Secrets du Jour J", il raconte les subterfuges imaginés par les Britanniques pour faire croire aux Allemands que le Débarquement aurait lieu dans le Pas-de Calais et non en Normandie.

L'aventurier, qui a campé un vieil espion dans "Film Socialisme" de Jean-Luc Godard, sorti en 2010, a publié peu avant son décès un dernier ouvrage sur le lieutenant-colonel Sir Claude Edward Marjoribanks Dansey. Ce "numéro 2 de l'Intelligence service, très peu connu, a eu une existence fabuleuse", estimait-il quelques mois plus tôt, glissant avec malice: "la mienne à côté, c'est une vie de moine!".

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/histoire

Exercice d’envergure pour le 5e RHC

Motards : avant de prendre la route, vérifiez votre équipement

Extrême fight for heroes 3

Inauguration d'un nouveau bâtiment à la Maison du légionnaire

lundi 20 avril 2015

Armée de Terre

Reportage incroyable choc !! La grande force de l'armée francaise HD

[Intégrale] Hexagone Balard, la Défense ensemble (JDef)

Liban : première livraison d'armes françaises pour lutter contre les jihadistes

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, est à Beyrouth ce lundi pour assister à une première livraison d'armes françaises à l'armée libanaise. Il était présent au côté de son homologue Samir Mokbel à la cérémonie qui s'est déroulée à 9h30 locales (8h30 en France) sur la base aérienne de la capitale libanaise.
Ces armes sont financées par un don saoudien de trois milliards de dollars (2,8 milliards d'euros),

La première fourniture porte sur 48 missiles antichar Milan. Au
total, 250 véhicules de combat ou de transport de troupes, sept hélicoptères Cougar, trois corvettes et de multiples équipements de reconnaissance, interception et communication viendront renouveler, d'ici le printemps 2019, des matériels notoirement obsolètes ou insuffisants. La France et l'Arabie saoudite espèrent ainsi contribuer à la stabilité du Liban, qui reste fragilisé par 15 ans de guerre civile (1975-1990) et de fortes divisions confessionnelles, face aux incursions des jihadistes de l'organisation Etat islamique (EI) ou du Front Al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda.
Livraison d'équipements et formation d'officiers

Le Liban comme la Jordanie, où Jean-Yves Le Drian s'est rendu samedi et dimanche, sont directement «affectés par le développement du terrorisme en Syrie et par un très grand afflux de réfugiés», souligne-t-on dans l'entourage du ministre. «Leurs appareils de sécurité nécessitent un appui extérieur». L'Arabie saoudite, inquiète de la montée en puissance de l'Iran dans la région, entend aussi renforcer l'armée libanaise par rapport au Hezbollah, puissant mouvement armé chiite soutenu par Téhéran et qui combat les jihadistes au côté du régime de Damas.

A travers ce contrat franco-saoudien, «c'est une véritable transformation des forces armées libanaises qui doit s'engager» avec, outre la livraison d'équipements, un plan de formation de centaines d'officiers et sous-officiers pendant sept ans, explique-t-on au ministère français de la Défense. L'armée libanaise (70.000 hommes) a déjà amorcé en partie sa mutation, aidée par des conseillers militaires américains et britanniques, relève Aram Nerguizian, de Centre d'études internationales et stratégiques de Washington. «D'une force de police, elle est devenue une force militaire capable de défendre les frontières face à l'EI», note encore l'expert du CSIS

3000 jihadistes prêts à envahir la Bekaa

Les Etats-Unis lui ont fourni une assistance militaire de plus d'un milliard de dollars depuis 2006. En février, ils ont encore livré 72 canons M198 Howitzer et pour plus de 25 millions de dollars d'obus, de mortiers et munitions. Mais l'armée libanaise a un besoin urgent de divers matériels, notamment d'hélicoptères pour transporter ses unités d'élite et gagner en mobilité. L'ancien général Hisham Jaber chiffre ses besoins globaux à dix milliards de dollars et déplore que les premiers Cougar ne seront livrés qu'à la fin 2017. Selon lui, 3.000 jihadistes sont basés à la frontière syro-libanaise, prêts à pénétrer dans la plaine de la Bekaa.

La liste des matériels livrés par la France a été arrêtée par l'état-major libanais, relève le ministère français de la Défense. Le Liban a ainsi renoncé au char Leclerc, jugé trop cher - il penche plutôt pour l'américain M1A1 (Abrams) - et à l'hélicoptère léger Gazelle, inadapté en haute altitude, selon Aram Nerguizian. En 2015, les équipements livrés - appareils de vision nocturne, véhicules blindés et légers, drones légers, moyens de déminage - seront prélevés sur les stocks de l'armée française.

Ces armes sont attendues avec d'autant plus d'impatience que les négociations avec Ryad ont commencé fin 2013. L'Arabie saoudite avait alors choisi la France comme partenaire en réaction au refus américain et britannique de s'impliquer militairement contre Bachar el-Assad, accusé d'utiliser des armes chimiques contre la rébellion. L'Arabie saoudite a aussi accordé à l'ancien Premier ministre libanais Saad Hariri un milliard de dollars pour soutenir l'armée libanaise. Mais cette transaction ne s'est pas encore concrétisée, selon Hisham Jaber. De son côté, Téhéran serait prêt à fournir des équipements mais cette proposition ne fait pas l'unanimité au sein du pouvoir libanais, divisé par le conflit syrien et sans chef de l'Etat depuis près d'un an.

http://www.leparisien.fr/international/liban-premieres-livraisons-d-armes-francaises-pour-lutter-contre-les-jihadistes-20-04-2015-4709071.php

Violent feu d'appartement à Saint-Denis (16/04)

Prochainement notre webdocumentaire « Le parachute

dimanche 19 avril 2015

Le porte-avion Charles-de-Gaulle quitte le Golfe

Le porte-avions français Charles-de-Gaulle, engagé depuis le 23 février dans les opérations de la coalition internationale contre le groupe Etat islamique, a achevé sa mission et quitté le Golfe, hier.

Le bâtiment, avec à son bord 12 avions de combat Rafale et 9 Super Etendard modernisés qui ont pris part aux bombardements contre l'EI en Irak, fait désormais route vers Goa, en Inde, pour des manoeuvres avec l'aéronavale indienne.

Ces manoeuvres interviennent alors que Dehli vient d'annoncer l'acquisition de 36 avions Rafale et veut négocier avec le gouvernement français l'achat d'appareils supplémentaires.

En huit semaines dans le Golfe, la vingtaine d'appareils embarqués sur le porte-avions ont "réalisé quotidiennement 10 à 15 sorties de combat" en "appui des forces de sécurité irakiennes engagées au sol" contre les djihadistes, selon l'état-major français.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/04/19/97001-20150419FILWWW00146-le-porte-avion-charles-de-gaulle-quitte-le-golfe.php

La trajectoire du motard

Assistant administratif

Sautez sur la Passe de salvador au Niger, avec les légionnaires parachutistes du 2e REP.

Une journée à bord du porte-avions américain USS Carl Vinson

vendredi 17 avril 2015

Le ministre de la Défense à Reims : «Nous allons actualiser la loi de programmation militaire»

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, est arrivé pour sa visite dans la cité des sacres à l’occasion du congrès national du Souvenir français
Jean-Yves Le Drian prononce un discours devant les délégués du Souvenir Français  : « Daesch est une armée terroriste qui a ses légions étrangères», martèle le ministre de la défense. « De 7000 à 10 000 soldats participent à l’opération sentinelle sur notre territoire parce qu’il y a des menaces. Nous allons actualiser la loi de programmation militaire compte tenu des menaces contemporaines.»
A propos du Souvenir Français, le ministre se félicite  : « Le Souvenir Français a le sens des symboles. En tenant congrès à Reims, il le montre (...) Il nous appartient de rappeler que, dans la France d’aujourd’hui, il y a des soldats qui risquent leur vie. Faire vivre l’esprit de défense est aussi une mission du Souvenir Français . »
Dans un premier temps, un accueil républicain est assuré à la mairie par Catherine Vautrin, députée et présidente de Reims Métropole ainsi qu’Arnaud Robinet, député et maire de Reims. Le ministre est attendu au centre des congrès vers 15 heures. Il assistera ensuite à une cérémonie au monument aux morts, place de la République, vers 15 h 45. Il est d’ailleurs conseillé de ne pas circuler dans le secteur à ce moment-là.
http://www.lunion.com/node/444487

Reportage Légion etrangère soldats de l'armé complet

Une marche pour commémorer l’Engagement

Belfort : deux militaires participeront à la finale du concours culinaire interarmées

Ils s’activent en cuisine, concentrés, imperturbables ! Les deux chefs cuisiniers ont un menu à préparer, en trois heures trente. Et pas une minute de plus. Pas le temps de s’éparpiller ! C’est la septième fois qu’ils répètent leurs recettes, y apportent des améliorations. Tout doit être parfait pour la finale du Trident d’Or, le 7 mai prochain, à l’institut Paul-Bocuse, à Lyon.
Le brigadier-chef Yann et le chef Dominique ont passé les qualifications le 16 octobre dernier, à l’école des fourriers à Querqueville. Et se classent parmi les huit finalistes. Ils ont impressionné le jury avec leur menu sur le thème imposé « Plume d’automne » et « Délice de pomme ». Ils ont dû réaliser le plat et le dessert sans dépasser un budget de 3,10 € par personne. Et le menu devait être « réalisable » pour 100 convives, même s’ils n’ont cuisiné « que » pour six personnes.
Le duo, qui s’était porté volontaire dès l’annonce du concours organisé par le centre d’expertise de la restauration et de l’hébergement interarmées et le service du commissariat des armées, a vu sa créativité récompensée. Leur ballotin de volaille, champignons et moutarde à l’ancienne accompagné d’un croquant de pommes de terre et tombée de poireaux et granny-smith ont fait la différence, par rapport aux 30 équipes concurrentes. Aux dires des chanceux qui ont pu goûter, « c’était divin ». Le dessert était tout aussi alléchant : une charlotte de pomme gingembre à la confiture de vin.
« Ce concours casse les idées préconçues selon lesquelles à l’armée, on ne fait qu’ouvrir des boîtes »
Le brigadier-chef Yann a participé à ce concours pour représenter Belfort, d’une part, et d’autre part, « à titre personnel, pour voir ce que j’étais capable de produire après dix-huit ans d’armée ». Ce militaire, un passionné de cuisine, met autant de cœur à préparer ce concours qu’à concocter le repas quotidien pour plus de 500 bouches. Seulement, la façon de travailler est différente. Tout comme elle diffère quand le chef part en opérations extérieures et se retrouve à cuisiner dans des conditions très compliquées et peut être amené à nourrir 3.000 hommes.
Le chef Dominique, civil qui travaille pour l’armée depuis 1982, a tout de suite accepté de faire partie du duo. « C’est un beau challenge. Ce concours casse les idées préconçues selon lesquelles à l’armée, on ne fait qu’ouvrir des boîtes. Et bien non, on travaille des produits. Ma récompense, je l’ai déjà : c’est la reconnaissance de mes supérieurs, et surtout participer à la finale à l’institut Paul-Bocuse, un haut lieu de la gastronomie française. »
Pour la finale, le cahier des charges a été modifié concernant le budget qui prévoit 8 € par personne. Le thème : « Vivanda et purées folles » pour le plat et « Déclinaison de fruits et chocolat » pour le dessert.
Les deux chefs peaufinent leurs recettes. Répètent leurs gestes, améliorent le dressage… écoutent les critiques constructives des goûteurs et entendent bien présenter des assiettes parfaites. Ils tiennent bien sûr à garder leurs mets secrets. Mais on vous l’assure : c’est top ! Les saveurs, les textures en bouche, la présentation… On est dans le haut de gamme !
Même le commissaire en chef Xavier, chef du groupement de soutien de la base de défense de Belfort, gourmand, gourmet et admiratif, est bluffé. « Ce sont des gens qui ont la passion de leur métier. Et c’est un plaisir de commander des gens comme ça. »
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/04/16/belfort-deux-militaires-participeront-a-la-finale-du-concours-culinaire-interarmees

Juan de Nova, 45 jours d’autarcie

jeudi 16 avril 2015

S comme SPAHIS

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S comme SPAHIS] Est-ce un oiseau ? Est-ce un avion ? Non, c'est un SPAHIS !
Le 2e escadron du 1er régiment de spahis a achevé sa mission à Djibouti. Cet engagement de 6 mois a été l’occasion pour les Spahis de renouer avec leur milieu historique de prédilection : le désert.

Plusieurs temps forts ont marqué le mandat de l’escadron. Tout d’abord, les militaires ont effectué un stage d’une dizaine de jours au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert (CECAD). Les spahis ont ainsi pu s’élancer à l’assaut de la mythique « voie de l’inconscient » (parcours commando à flanc de falaise) et apprendre à survivre et combattre en milieu désertique et semi-montagneux... lire la suite : http://bit.ly/spahisDjibouti

Gendarme en Nouvelle Calédonie - Entre coutume et brousse

[Teaser] Hexagone Balard, la défense ensemble (JDef)

Opération Barkhane : vol tactique d'hélicoptères Caïman

mercredi 15 avril 2015

Hommage au caporal Julien Giffard du 1er RI

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Hommage au caporal Julien Giffard du 1er RI, décédé lors d’une patrouille fluviale au cours de l’opération Harpie 5 ans plus tôt.
Le 07 avril 2015, sur la base opérationnelle avancée de Maripasoula en Guyane, la 2e compagnie du 1er régiment d’infanterie (1er RI), en mission de courte durée au 9e régiment d’infanterie de marine (9e RIMa), a salué la mémoire de notre camarade. En présence du colonel Fromaget, chef de corps du 9e RIMa, d’un groupe de plongeurs de combat du 31e r...égiment du génie (31e RG) et d’une section du 3e régiment du génie (3e RG), deux gerbes ont été déposées sur la stèle érigée en sa mémoire sur le camp Lunier, à Maripasoula. Participant à la mise en place d’un point de contrôle fluvial sur la rivière Tampock le 8 juillet 2010, la pirogue sur laquelle se trouvait le 1re classe Julien Giffard avait été percutée par une embarcation rapide clandestine qui forçait le passage. Précipité à l’eau par le choc de l’impact, il avait été porté disparu. Malgré l’important dispositif de recherche mis en place, son corps avait été retrouvé sans vie, 4 jours après. Les honneurs militaires lui avaient été rendus le mardi 20 juillet 2010, au cours d’une cérémonie présidée par le général d’armée Elrick Irastorza, chef d’état-major de l’armée de Terre. Elevé à titre posthume au grade de caporal, il avait alors reçu la Médaille militaire et avait été fait chevalier de l’Ordre national du Mérite. Une citation à l’ordre de l’armée, sans croix avec attribution de la médaille d’or de la Défense nationale lui avait également été décernée. L'armée de Terre s'associe à cette cérémonie.

Spectacle : Ami entends-tu ?

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Les 8 et 9 mai, l’association Spectacle Ami, Entends-tu? mettra en scène, dans la cour des Invalides, l'engagement héroïque de Compagnons de la libération peu connus ou oubliés de la mémoire collective. Ce spectacle historique créé par des jeunes pour les jeunes, aura pour ambition de transmettre leur histoire comme exemple d'engagement pour la jeunesse d'aujourd'hui, dans la défense des valeurs qui rassemblent la Nation. Performance à laquelle participeront bénévolement une quinzaine de personnalités parmi lesquelles Jean Piat qui en sera le narrateur ou encore Jacques Weber, Ana Girardot, Francis Huster, Sarah Biasini et Bruno Solo qui, par leur voix ou sur scène, donneront vie aux lettres d'adieu des résistants.
Tarif : de 10 à 20 €

RHÔNE. Corbas : le Mirage IV du Musée de l'aviation classé monument historique !

Le bombardier supersonique, entreposé sur la base de Chateaudun (Eure et Loir) a été récupéré par les bénévoles de l'association en 2010 après l'accord de l'Armée de l'Air. Une fois démonté, et transporté, l'avion a été méticuleusement restauré à Corbas : plus de 6400 heures de travail ont été nécessaires pour lui redonner son aspect initial. "Cela a été un projet assez compliqué... nous n'avions pas accès à la notice technique qui est un document classé. Nous avons patiemment tout remonté en retrouvant certaines pièces manquantes", soulignent Rémi Bourdon et Bernard Trible, fiers d'exposer au public "leur" Mirage.
En septembre 2014, l'association a déposé un dossier au ministère de la Culture. Et le 7 avril, la bonne nouvelle est tombée : "La commission patrimoine a accepté le classement à l'unanimité du jury. On sait que maintenant cet appareil est protégé", ajoute Bernard Trible.
Musée de l’aviation française « Clément Ader ». Parc de loisirs, aérodrome de Lyon – Corbas. Ouverture au public tous les jours (sauf mardi) de 14h00 à 18h00. Renseignements : 04 78 90 35 24. www.ealc.fr
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/04/14/corbas-le-mirage-iv-du-musee-de-l-aviation-classe-monument-historique

Cérémonie pour la fête du Train au 515e RT

Opération Chammal : Mission Arromanches

dimanche 12 avril 2015

Pierre Latanne raconte son chemin à Diên Biên Phu

Pierre Latanne est le seul Lourdais survivant de la bataille de Diên Biên Phu. Un événement marquant dans sa vie. Ce mois-ci, sort en librairie «Les Chemins de Diên Biên Phu», un ouvrage auquel il a participé.
Tout a commencé par un article dans «La Nouvelle République des Pyrénées», il y a un an, à l'occasion des 60 ans de la bataille de Diên Biên Phu. «Un éditeur parisien, François de Saint-Exupéry, a lu l'article. En passant par Sandra Cazenave, journaliste, il m'a contacté pour participer à un livre sur Diên Biên Phu», résume Pierre Latanne, 86 ans, le seul survivant de cette bataille qui a eu lieu entre 1953 et 1954.
Patrick de Saint-Exupéry, des éditions Nimrod, ne sait alors sans doute pas qu'il s'adresse à une mémoire de cette bataille. Dans sa maison de Lourdes, Pierre Latanne conserve précieusement des archives et une bibliographie quasi exhaustive sur la guerre d'Indochine. «Ici, dans le salon, il y a une vingtaine de livres sur Diên Biên Phu où mon nom est mentionné. Dans mon bureau, j'ai 250 ouvrages consacrés à cette bataille et des coupures de presse rangées dans trois classeurs», présente Pierre Latanne, en montrant les étagères de sa bibliothèque.
Diên Biên Phu, c'est un événement inoubliable de la vie de ce Lourdais. «ça a été très difficile. J'ai été blessé : une jambe cassée et l'autre abîmée. Mais je n'ai aucun regret. Je suis parti sur un coup de tête. J'avais envie de changer d'air». Plus symboliquement, Diên Biên Phu, c'est aussi le «début de la décolonisation et une défaite pour l'armée française. L'Indochine, c'est un comme Verdun pour la guerre «14-18», explique Pierre Latanne. Un épisode qui l'a profondément marqué et qu'il résume dans une partie des «Chemins de Diên Biên Phu».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/04/12/2085649-pierre-latanne-raconte-son-chemin-a-dien-bien-phu.html

Assistant administratif

samedi 11 avril 2015

Soldat de 1° classe HENRI, réserviste

Aéroport d'Orly : un militaire de Vigipirate agressé, un homme recherché

Un militaire affecté à l'aéroport parisien d'Orly dans le cadre de Vigipirate a été agressé vendredi par un homme qui lui a porté un coup au visage, le blessant légèrement, avant de prendre la fuite.

«Légèrement blessé, le sergent a réussi à rapidement mettre en fuite son agresseur, armé d'un couteau», indique un communiqué commun des ministères de la Défense et de l'Intérieur diffusé vendredi soir.

L'agresseur est «activement recherché» et une enquête a été confiée à la direction de la police judiciaire de la préfecture de police.

Une autre source a précisé à l'AFP que le militaire avait été blessé «à la pommette», a priori «d'un coup de poing».

Le militaire «a été blessé car il y a eu un échange de coups, mais il n'a pas été atteint d'un coup de couteau», a confirmé une source judiciaire.

L'agression a eu lieu vers 14H15 «dans la zone non-publique de l'aéroport», a expliqué une source proche du dossier. L'agresseur est «de type européen, vêtu d'un bonnet noir et d'un blouson noir», selon une seconde source.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/aeroport-d-orly-un-militaire-de-vigipirate-agresse-un-homme-recherche-10-04-2015-4682069.php
Le militaire se «lavait les mains dans les toilettes réservées au personnel de l'aéroport, près du local réservé aux militaires, (lorsqu'il) a ressenti un coup dans le dos», a raconté une troisième source.

«Il s'est retrouvé nez à nez avec un homme habillé de noir avec un bonnet, des gants et un couteau. Il y a eu un échange de coups et l'individu a pris la fuite. Le militaire est choqué», a-t-elle précisé.

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian et le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve «condamnent avec la plus grande fermeté l'agression dont a été victime» le militaire, indiquent-ils dans leur communiqué commun.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/aeroport-d-orly-un-militaire-de-vigipirate-agresse-un-homme-recherche-10-04-2015-4682069.php

Chloé, ingénieure informatique

Visite du ministre de la Défense au 3e RIMa

Exercice Madiana

vendredi 10 avril 2015

L'Inde commande 36 avions Rafale à la France

Le Premier ministre indien, Narendra Modi, a annoncé vendredi à Paris que son pays allait acheter 36 avions de combat Rafale à la France.
L'Inde va se porter acquéreur de 36 avions Rafale de Dassault Aviation fabriqués enFrance, a annoncé vendredi le Premier ministre indien Narendra Modi au premier jour d'une visite officielle en France. "J'ai demandé au président (François Hollande) la fourniture de 36 Rafale prêts à voler à l'Inde", a-t-il dit lors d'une conférence de presse commune avec le chef de l'Etat français.
Le Premier ministre, qui s'exprimait en hindi, a précisé que les termes et conditions du contrat n'étaient pas finalisés. "Nos fonctionnaires vont discuter de ces aspects plus en détail et poursuivre les négociations", a-t-il dit, selon la traduction de son intervention. Cet accord est séparé des négociations exclusives entamées il y a trois ans pour la livraison de 126 Rafale à New Delhi, dont 108 devaient être fabriqués en Inde, a-t-on appris de source française.
 

Visite du ministre de la Défense au 3e RIMa

Présentation des Forces Armées aux Antilles

Maureillas : simulation d'une évacuation de ressortissants en terrain hostile

Hier matin, le stade de Maureillas était le terrain de manœuvres et d'exercices de l'armée de terre actuellement en pleine opération Vermeille 2015.
Une cinquantaine de personnes, des ressortissants français, bloquées dans une zone ennemie et qu'il faut évacuer en toute sécurité et rapidement, voilà le scénario de l'exercice grandeur nature pour les hommes du 5è régiment d'hélicoptères de combat (RHC). Des collégiens de Perpignan et de Port-Vendres, arrivés en bus, jouaient le rôle des personnes à évacuer.
Sécurisation
Transportés à bord d'un Puma, une vingtaine de fantassins du 8è régiment parachutiste d'infanterie de marine de Castres étaient largués sur le terrain. L'hélicoptère Puma étant lui-même protégé par deux Gazelles. Déployés et postés aux points stratégiques, les soldats sécurisaient les abords de la zone.
Évacuation
Les ressortissants étaient alors pris en charge par les militaires du 503è régiment du train et placés à bord de camions "GBC". Et c'est en convoi, par la route, qu'ils étaient acheminés au centre de recueil et d'évacuation de ressortissants (CRER) installé à Collioure. Une opération que les militaires seront peut-être amenés à réaliser en conditions réelles lors d'opérations extérieures, au Mali ou en République centrafricaine. Les soldats du 5è RHC sortant du Puma afin de sécuriser le périmètre et de permettre l'évacuation par convoi terrestre des ressortissants.
http://www.lindependant.fr/2015/04/10/simulation-d-une-evacuation-de-ressortissants-en-terrain-hostile,2015606.php

Nouveau bâtiment pour la maison du légionnaire

Centre d’aguerrissement tropical de la Réunion

jeudi 9 avril 2015

Jean-Louis Crémieux-Brilhac, résistant et historien de la guerre, est mort à 98 ans

L'Élysée a annoncé jeudi soir dans un communiqué la mort Jean-Louis Crémieux-Brilhac, grande voix de la France Libre et historien de la Seconde Guerre mondiale, à l'âge de 98 ans. Il avait notamment écrit sur le général de Gaulle et la France de 1940.
"La vie de ce grand homme a épousé le siècle", a déclaré François Hollande dans un communiqué annonçant la mort de Jean-Louis Crémieux-Brilhac jeudi 8 avril à l'âge de 98 ans. Haut-fonctionnaire et résistant, il s'est révélé sur le tard historien de premier plan sur des périodes de la guerre qu'il a intimement vécues : "la drôle de guerre" et la France libre, autour du général de Gaulle. Ses livres, comme "Les Français de l'an 40" (1990) et "La France libre. De l'appel du 18 juin à la Libération" (1996), fruits d'années de recherches, font aujourd'hui autorité dans la communauté des historiens.
"Ce patriote engagé croyait au savoir. À la Libération, il a créé la Documentation Française pour fournir à la démocratie les informations et les analyses dont elle a besoin. Auprès de Pierre Mendès-France, dont il fut le conseiller, il a joué un rôle décisif dans la modernisation de la science française", a ajouté François Hollande en faisant part de son "émotion".

Né le 22 janvier en 1917 à Colombes (Hauts-de-Seine), Jean-Louis Crémieux est originaire d'une famille juive implantée depuis cinq siècles à Carpentras, puis Nîmes et Narbonne. Depuis 1931, il passe une partie de ses vacances en Allemagne où il assiste à la montée du nazisme. Il fait ses études à la Sorbonne, obtenant une licence es lettres.
Mobilisé en septembre 1939, il suit une formation à Saint-Cyr et est affecté à l'extrémité ouest de la ligne Maginot. En juin, il est fait prisonnier dans la Marne et envoyé en Allemagne. Il parvient à s'évader d'un stalag de Poméranie début 1941 et gagne l'Union soviétique. Il y est emprisonné, comme plusieurs dizaines d'autres Français qui cherchent à rejoindre le général de Gaulle, et finalement interné.
L'invasion allemande engagée en juin 1941 change la donne : la France libre devient alliée de l'URSS, et avec quelque 200 autres Français évadés, il peut rallier la Grande-Bretagne, où il s'engage dans les Forces françaises libres en septembre 1941 sous le pseudonyme de Brilhac.
Il devient secrétaire du Comité exécutif de propagande et chef du service de diffusion clandestine de la France Libre (printemps 1942-août 1944). Il est amené à parler à plusieurs reprises au micro de Radio-Londres, préparant les émissions à destination de l'Europe occupée.


Historien de la Seconde guerre mondiale


Dans les années 50, tout en gardant son admiration pour de Gaulle, il soutient Pierre Mendès-France : il est conseiller technique dans le cabinet du président du Conseil (1954-1955) et de René Billères (1956-1958), ministre de l'Education nationale. Il est l'animateur, avec Jacques Monod et le mathématicien André Lichnérowicz, du Mouvement pour l'expansion de la recherche scientifique (1956-1972).
À sa retraite, Jean-Louis Crémieux-Brilhac se fait historien, publiant des livres remarqués comme "Ici Londres. Les Voix de la liberté" (cinq volumes/1975-1977), "Prisonniers de la liberté" (2004), "Georges Boris, trente ans d'influence" (2010). Il avait écrit en 2010 la préface d'un album sur de Gaulle, coédité par l'AFP.
En 1990, il reçoit le prix de l'Assemblée nationale pour "Les Français de l'an 40" (deux volumes, parus chez Gallimard). Cet ouvrage, duquel bien peu de responsables du pays de cette époque sortent grandis, a permis de dévoiler, grâce à des archives souvent inédites, comme celles d'Édouard Daladier ou Marcel Déat, une France dont on ne savait alors pas grand-chose.
Dans "La France libre", il avait notamment fait apparaître un de Gaulle assez différent de celui qu'on connaissait généralement, plus réaliste, plus calculateur, plus visionnaire. Il s'agissait pour lui de faire "mieux comprendre ce dont les Français libérés lui furent redevables".
Jean-Louis Crémieux-Brilhac était grand officier de la Légion d'honneur et commander of the order of the British empire.
 

Mission 360 : C’est quoi l’instruction technique ?

Mission 360 – Episode 8 : c’est quoi la vie quotidienne en compagnie ?

La Maison des blessés et des familles

mardi 7 avril 2015

Mission 360 - Episode 3 : C’est quoi la vie en campagne ?

Mission 360 - Episode 2 : Un soldat, ça s’habille comment ?

Frapelle : sortie de route mortelle

Un jeune homme, passager d'une voiture, est décédé dans un accident dans la soirée, dimanche 6 avril 2015, à la sortie de Frapelle (Vosges). Le conducteur est gravement blessé après avoir été éjecté du véhicule qui a terminé sa course dans un fossé.
Un jeune homme, passager d'une voiture, est décédé dans un accident dans la soirée, dimanche 6 avril 2015, à la sortie de Frapelle (Vosges). Le conducteur est gravement blessé après avoir été éjecté du véhicule qui a terminé sa course dans un fossé. L'enquête a été confiée aux gendarmes de Saint-Dié.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/lorraine/2015/04/07/frapelle-sortie-de-route-mortelle-699415.html

L'armée de terre recrute "massivement"

C'était le message du général Frédéric Blachon, au Cirfa (1) de Nice: « C'est du jamais vu pour nous. Cette année, l'armée de terre va recruter massivement. Énormément plus que d'habitude », a exposé le sous-directeur du recrutement de l'armée de terre.
En tournée nationale, il était tout récemment dans les Alpes-Maritimes, ce «désert militaire qui ne compte plus aucune base », pour promouvoir les plus de 300 métiers proposés par l'institution.
«D'habitude, l'armée recrute 10 000 personnes par an. Cette fois, nous avons de plus gros besoins, du fait des opérations extérieures en cours, mais aussi de l'opération sentinelle (2) qui mobilise 7 000 personnes, et 3 000 autres en réserve» explique le général Frédéric Blachon. Qui ne veut pas dévoiler de chiffre exact de recrues supplémentaires, qui devrait être officiellement annoncé à la fin du mois.
Après les événements de janvier, le renfort de sécurité nécessite donc des moyens humains. «Nous recherchons des jeunes de 17 ans et demi à 29 ans, titulaires de diplômes allant du CAP au Bac + 5, dans de nombreux domaines. En particulier pour des postes d'informaticiens, de linguistes, de mécaniciens en drones...»
Le Cirfa de Nice, qui a cette année reçu les candidatures de 660 jeunes dont 450 ont été convoqués, a finalement procédé à environ 80 recrutements. Cette année, ce pourrait être bien plus. «Pour des carrières courtes ou longues. Mais, prévient le général Blachon, nous ne prendrons que les meilleurs.»
(1) Centre d'information et de recrutement de l'armée de terre.
(2) Qui vient renforcer la sécurité sur le territoire national en complément du plan Vigipirate. Elle est opérationnelle depuis le 12 janvier dernier.

En pésence des FS françaises, premier repas en "homme libre de l'ex-otage néerlandais"

Vesoul : du bleu dans les mobiles

Vesoul. Les gendarmes de Haute-Saône bouclent la boucle. Après avoir été parmi les dix premiers groupements en France à lancer leur page Facebook, ils innovent encore, en lançant leur application dédiée aux smartphones Android, « Gendarmerie 70 ».
Cette appli, d’ores et déjà disponible sur Play Store, se distingue de celles de leurs collègues, comme le détaille le colonel Pierre Egret, le patron du 70 : « Dans l’Hérault, les gendarmes ont lancé les premiers une appli ‘’Stop cambri’’ qui a depuis été reprise dans d’autres groupements. Notre application est plus large que ça. » En téléchargeant « Gendarmerie 70 », l’utilisateur a ainsi accès à des fiches de prévention sur tout un panel de menaces potentielles (arnaque, accident de la route, vols et cambriolages, cybermenaces, etc.). Elle permet aussi, grâce à un système de géolocalisation, de trouver la brigade la plus proche, et affiche le trajet pour s’y rendre. L’appli renseigne en outre des numéros d’urgence. Les gendarmes y font même la promotion du territoire, en renvoyant sur le site de Destination 70, dédié au tourisme en Haute-Saône.
C’est un groupe de huit étudiants, âgés de 19 à 21 ans et en 2e année de DUT informatique à l’IUT de Belfort-Montbéliard, qui est à l’origine de l’application des gendarmes. Un partenariat lancé à l’initiative du colonel Egret, qui a immédiatement intéressé l’établissement. « Nos étudiants travaillent tous sur des projets tuteurés, cela fait partie de leur formation », détaille Fabrice Ambert, prof au département informatique, qui a suivi le projet. « C’est forcément porteur pour nos étudiants de travailler pour un client réel, qui a ses exigences et suit de près l’avancée des travaux. »
« Lorsque les différents projets nous ont été présentés, celui de la gendarmerie a retenu l’attention de la plupart des étudiants », confirme Khaled Bouguettoucha, un des huit à avoir réalisé sur l’appli. « Pour le travail en lui-même, mais aussi pour le client. Ça nous a interpellés de voir la gendarmerie sur ce genre de projet. »
Le travail a démarré l’an dernier, alors qu’ils étaient en fin de 1re année, avec l’établissement du cahier des charges (charte graphique, fonctionnalités, etc.) Le développement de l’appli a demandé plusieurs mois de travail.
Les étudiants ont pu laisser un peu de leur « patte » en inventant un jeu dans l’appli, qui consiste à désigner le « Sam » - celui qui ne boit pas - parmi un groupe de fêtards en goguette. Chacun entre son numéro de téléphone, l’heureux élu reçoit alors un message l’informant de sa mission…
Un outil définitivement ludique dont le but est bien de communiquer sur la mission des gendarmes : protéger les biens et les personnes. C’était déjà dans cet esprit que la page Facebook du groupement était née en octobre 2013. Aujourd’hui, elle est la 3e en France en terme de « followers », derrière celles du Var et de la Gironde. Elle compte plus de 9.500 personnes inscrites.
Pour télécharger l’appli « Gendarme 70 » c’est par là : https ://play.google.com/store/search?q=gendarmerie + de + la + haute + saone & hl = fr

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2015/04/07/du-bleu-dans-les-mobiles

RAMEX DELTA 2014

lundi 6 avril 2015

Mali : un otage néerlandais libéré par les forces spéciales de l'armée française


Le ministère de la Défense a annoncé ce lundi qu'une opération de l'armée française a permis la libération d'un otage néerlandais, détenu au Mali depuis fin 2011 par Aqmi. Une nouvelle saluée par François Hollande.


C'est un succès pour la mission "Berkhane". Un Néerlandais détenu par le groupe islamiste Aqmi a été libéré ce lundi par des soldats des forces spéciales françaises lors d'une opération dans l'extrême-nord du Mali.
Un communiqué du ministère de la défense précise que "l'otage néerlandais Sjaak Rijke, enlevé à Tombouctou le 25 novembre 2011", a été libéré lors "d'une action militaire conduite par les forces spéciales de l'armée française. Cette action de combat a permis la capture de plusieurs individus". Deux terroristes ont été neutralisés et deux autres se sont rendus.

En déplacement dans l'Ain, où il commémorait la rafle d'Izieu, François Hollande a indiqué que l'opération s'est déroulée près de Tessalit et que Sjaak Rijke a été "mis en lieu sûr". L'ex-otage est-il en bonne santé ? "Autant que possible après quatre ans de captivité", a répondu le chef de l'Etat. "Ca a été pour nous, pour nos forces, une surprise de pouvoir libérer cet otage car nous n'avions pas d'information sur la présence de cet otage", a-t-il expliqué.

"La lutte contre le terrorisme au Mali n'est pas terminée. Nous avons toujours 3.000 hommes qui sont présents dans la région, pas seulement au Mali, pour assurer cette lutte contre le terrorisme", a encore rappelé François Hollande.

Compagnon de détention de Serge Lazarevic


Sur Twitter, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian s'est réjoui de cette libération et a tenu à remercier les soldats français. "La France poursuivra ses actions contre-terroristes au Sahel aussi longtemps que notre sécurité sera menacée par ces groupes", a-t-il prévenu.
Le 25 novembre 2011, un groupe d'hommes armés avait fait irruption sur la terrasse d'un hôtel de Tombouctou, la ville historique du nord du Mali. Ils avaient menacé un groupe d'Occidentaux pour les forcer à les suivre. L'un d'eux, un Allemand, avait tenté de résister etavait été abattu. Un autre, également allemand, était parvenu à se cacher.  

Le commando avait emmené Sjaak Rijke ainsi qu'un Sud-africain, Stephen  Malcolm McGown, et un Suédois, Johan Gustafson, qui sont toujours aux mains de  leurs ravisseurs. En novembre 2014, Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique) avait diffusé sur  internet une vidéo sur laquelle Sjaak Rijke s'exprimait à l'occasionde son 1000e jour de détention. Il était accompagné sur ce film de Serge Lazarevic, otage français aux  mains d'Aqmi qui sera libéré peu après, en échange de la libération de quatre  jihadistes emprisonnés au Mali.


http://lci.tf1.fr/monde/afrique/mali-l-armee-francaise-libere-un-otage-neerlandais-d-aqmi-8590212.html
 

Yémen : Le Dixmude évacue 44 personnes de Balhaf

Mali : des forces spéciales françaises libèrent un otage néerlandais

Un Néerlandais détenu par le groupe islamiste Aqmi a été libéré lundi par des soldats des forces spéciales françaises lors d'une opération dans l'extrême-nord du Mali, selon le ministère français de la Défense.

Un communiqué précise que ««l'otage néerlandais Sjaak Rijke, enlevé à Tombouctou le 25 novembre 2011»» a été libéré lors «d'une action militaire conduite par les forces spéciales de l'armée française.

Cette action de combat a permis la capture de plusieurs individus». 


Un Néerlandais détenu par le groupe islamiste Aqmi a été libéré lundi par des soldats des forces spéciales françaises lors d'une opération dans l'extrême-nord du Mali, a déclaré le ministère français de la Défense.   

Yémen : poursuite des opérations d’évacuation de ressortissants

Deux entreprises honorées par le «Prix de la réserve militaire»